On apprend en effet dans ce communiqué que la nouvelle Prius devrait corriger ce qui était le plus souvent reproché à se devancière.
Routière
La Prius était déjà réellement économique en ville lorsque bien utilisée – 5,0 l/100km réels dans le trafic urbain, remarquable pour une essence de la taille d'une Golf – Toyota promet que la nouvelle Prius le sera aussi sur autoroute. Mieux encore, nous citons: "elle offrira une expérience de conduite beaucoup plus gratifiante. (…) l'accélération se révèlera plus silencieuse, mieux adaptée au régime du moteur." Que voilà une bonne nouvelle!
Pour ce faire, la Prius recevra un toute nouvelle propulsion hybride, ainsi que de nouvelles batteries offrant une meilleure densité énergétique, donc plus compactes. Cela au profit de l'habitabilité et du volume de coffre. Enfin, la voiture reposera sur la nouvelle plateforme modulaire de Toyota, ce qui permet d'abaisser le centre de gravité de la Prius pour un meilleur comportement routier.
Le look? Euh…
On a longtemps reproché à Toyota la fadeur de son design. Critique devenue sans objet depuis les dernières GT86, Aygo, Yaris ou Auris. Mais là, même si dans le cas de la Prius, la fonction impose la forme, que l'aérodynamisme est la priorité absolue, on a envie de dire "Hola Bijou, tu t'emballes!". Et si vous n'aimez pas ça, préparez-vous car l'imminente Mirai, la première Toyota à hydrogène, est de la même eau. A notre avis, ce n'est pas comme ça que la Prius récupérera tous les clients que l'Auris lui a pris depuis qu'elle existe en version hybride.