Le constructeur britannique de voitures de sport Lotus a peut-être une réputation solide comme un roc parmi les amateurs de voitures, mais la marque est en proie à des problèmes financiers depuis des décennies. En 2017, cependant, une lumière se profilait à l'horizon lorsque le groupe chinois Geely achetait Lotus. Et quand on sait ce que les Chinois, qui possèdent également Volvo, ont fait à la marque suédoise, on comprend l'optimisme qui règne chez Lotus.
Cet optimisme s'est traduit jusqu'à présent par un nouveau modèle : l'Evija, une hypercar électrique hyper exclusive. Il y aura un autre modèle cette année, confirme Lotus, qui porte provisoirement le nom de code Type 131. Cette nouvelle voiture de sport sera le premier modèle d'une nouvelle gamme de voitures de série, qui remplacera la gamme actuelle. Lotus n'a rien révélé sur les spécifications, bien qu'il y ait des rumeurs selon lesquelles la Type 131 serait concurrente de la Porsche 911, avec une plate-forme en aluminium et un moteur à combustion interne.
Fin pour l'Elise
Lotus a elle-même investi plus de 100 millions de livres sterling dans ses installations de production à Hethel, au Royaume-Uni, ces dernières années. La marque cherche également à recruter 250 travailleurs supplémentaires, en plus des 670 que les Britanniques ont déjà recrutés depuis son rachat par Geely. La gamme Lotus actuelle, composée des modèles Elise, Exige et Evora, entrera ainsi dans sa dernière année de production. Dans le cas de l'Elise, cela met un terme à une histoire longue de 25 ans.