Qui aurait osé rêver, il y a cinq ans, qu'une nouvelle voiture serait d'abord lancée en tant que modèle entièrement électrique et qu'ensuite seulement, des mois plus tard, elle ferait connaître ses autres moteurs au monde entier. En 2020, cela devient de plus en plus la norme. C'était déjà le cas avec la Corsa et c'est désormais le tour du Mokka.
Merci PSA
Ce Mokka est apparu au milieu de l'année sous sa forme Mokka-e (pour en savoir plus, c'est par ici). Maintenant, c'est au tour des moteurs à combustion. Cela n'étonnera personne, mais ces derniers ne proviennent plus de chez Opel puisque la marque est devenue filiale de PSA. Par conséquent, le Mokka partage ses moteurs avec, entre autres, le Peugeot 2008.
Selon Opel, il y aura encore de la place pour l'essence et le diesel en 2020. Le Mokka s'équipe donc du 1,5 litre diesel de 100 ch et 250 Nm de couple. Il est bon pour une petite soif de 3,8 l/100 km et des émissions de CO2 de 100 g/km. On vous épargne le grand paragraphe du communiqué de presse qui parle des différentes technologies de filtration des gazes d'échappement. Bref, les diesels modernes sont vraiment plus propres.
Puretech
Le diesel est-il donc la seule solution pour le Mokka? Bien sur que non. Avec une telle station d'épuration à l'arrière, le gazole n'est rentable que pour les grands conducteurs. En plus, le Mokka est un petit SUV citadin qui sera plus à l'aise en ville que sur un trajet quotidien de Bruges à Düsseldorf.
Tout comme son frère électrique, le Mokka à moteur à combustion se caractérise par un style expressif, des gadgets high-tech et une empreinte au sol plus légère. La différence esthétique entre Mokka et Mokka-e? Le tuyau d'échappement!