Après que nous ayons d'abord découvert le nouveau Sharan, c'est à Seat de nous montrer son nouvel Alhambra, sorti de la même cuisse. La carrière du précédent Alhambra aura duré 14 ans. Et honnêtement, on ne s'en est jamais plaint chez Seat puisque année après année, le véhicule continuait de revendiquer de très honnêtes ventes. Mais bon, tout a une fin.
La nouveauté amène des améliorations. Avant tout, on ne parle plus désormais de se casser le dos en sortant des sièges de la voiture. Tout se replie bien à plat, sans problème. De quoi disposer d'un volume de chargement de 2.297 litres. Et de très pratiques portes latérales coulissantes font leur apparition. Les gosses vont pouvoir se prendre pour l'Agence Tous Risques. S'agissant d'un grand monovolume (4,58m), l'Alhambra sera disponible en 5 ou 7 places.
Spoiler
Comme c'était le cas des modèles précédent, les différences entre l'Alhambra et le Sharan sont minces. Les deux sont assemblés dans la même usine. Les blocs optiques sont différents, l'Espagnol affiche une grille bien distincte et le spoiler à l'arrière du toit est sensé rendre l'Alhambra plus "Auto Emoçion".
Côté moteurs, la gémellité est totale. On retrouve les classiques du groupe VW, comme le 2.0 TDi 140 ou 170 ch. Grâce à un système Stop&Start et un autre de récupération de l'énergie au freinage, Seat annonce une moyenne de 5,5 l/100 km. En essence, on ne trouve que des moteurs turbo. Le 1.4 lance le débat, avec 150 ch. Plus haut, on trouve le 2.0 TFSi en version 200 ch. Les prix sont encore inconnus, mais la tradition veut qu'ils soient en-dessous ceux du Sharan.