En fait, il n'y a pas grand-chose à ajouter par rapport à ce que nous avions déjà évoqué à propos de la berline. Comme cette dernière, le break Sports Tourer a grandi – un peu en longueur, beaucoup en empattement – pour devenir un véritable vaisseau amiral de la marque. En fait, l'Insignia passe du segment D au segment E, et occupe donc une place laissée vacante à la disparition de l'Omega.
200 kg
Sur un plan plus technique, Opel annonce que le break Insignia a perdu, selon la motorisation et l'équipement, jusqu'à 200 kg par rapport à son devancier. Mieux que la berline, qui ne perd "que" 175 kg. Opel ne dévoile toujours pas le catalogue mécanique de son Insignia mais annonce toutefois une nouvelle boîte auto 8 rapports, probablement la remarquable ZF déjà adoptée par tant de constructeurs. Enfin la Sports Tourer pourra elle aussi être équipée de la nouvelle transmission intégrale et d'un châssis piloté. Bref, cette nouvelle Insignia s'annonce très engageante à conduire.
Vrai break
Le volume maximal du coffre augmente de 100 litres, soit à présent 1.640 litres. Par contre, pas un mot sur sa capacité en configuration 5 places. Soit. Le coffre sera aisément compartimentable grâce à un système de rails et d'accessoires en tous genres, et il sera possible d'en ouvrir la porte d'un mouvement de pied sous le pare-chocs arrière.
Outre les sensations de conduite, il ne reste donc que trois inconnues: quels moteurs, quand, combien. Le suspense durera jusqu'à Genève.
