Après une décennie très difficile durant laquelle certains ont même douté de la survie de Seat – du moins au sein de la famille VW – le constructeur espagnol a retrouvé des comptes dans le vert. En 2016 en effet, tant le bénéfice d'exploitation (143 millions d'euros) que le bénéfice avant impôt (232 millions) étaient très largement dans le positif, ce qui n'était pas arrivé depuis 2007.
SUV, mais pas seulement
Seat est donc redevenue une marque rentable. Grâce à qui? On a immédiatement envie de de dire "grâce à l'Ateca", qui assure une présence de la marque dans un segment ultra populaire. Mais Seat souligne aussi les meilleurs résultats depuis leurs lancements respectifs de la Leon et… de l'Alhambra. Comme quoi, certains monospaces font de la résistance.
Bientôt deux, puis trois
Le succès devrait se prolonger quelques années encore, puisque la toute nouvelle Ibiza est dans les starting-blocks, ainsi qu'un second SUV, plus compact que l'Ateca, prévu avant la fin de l'année. Et ce n'est pas tout. Seat a aussi confirmé l'arrivée d'un troisième SUV en 2018, SUV qui sera proposé en 5 et 7 places, positionné au-dessus de l'Ateca. Nous l'appellerons "le Kodiaq de Seat".
Bref, pour Seat, todo esta muy bien.