La sportive de la famille évolue aussi, et notamment au niveau des tripes. Comme dans le cas de toutes les Golf, les évolutions esthétiques sont plus que discrètes. On peut même dire "anecdotiques". Dans le cas de la GTI, ce sont des détails comme les touches rouges de la calandre qui, dit VW, "deviennent un signal de reconnaissance". Ce rouge remplace donc le chrome sur la grille, ainsi que sur les "winglets" des intérieurs de phares. Rouge que l'on retrouve aussi comme teinte contrastante sur l'Active Info Display configurable.
A l'arrière, on observera – si on regarde bien – un nouveau dessin pour le pare-chocs, on remarquera plus facilement les feux arrières qui sont désormais Full LED, et peut-être aussi les sorties d'échappement plus généreuses.
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Mais ce qui nous intéresse le plus dans le cas de la GTI est bien sûr: combien de chevaux? Bonne nouvelle: VW a décidé de porter la puissance de la Golf GTI mise à jour au niveau de la GTI Performance sortante, soit 230 ch au lieu de 220.
La moins bonne nouvelle, c'est que nous avions noté que le train avant avait déjà un peu de mal à faire passer ces 220 ch dans le sol, la motricité n'étant pas exemplaire. C'est pourquoi nous avions préféré la version Performance, pas tant pour ses 230 ch que pour son différentiel avant qui changeait complètement la donne. Tout nous porte donc à croire que nous allons adorer la nouvelle Golf GTI Performance, qui gagne, elle, 15 ch pour passer à 245, et qui conservera vraisemblablement son différentiel avant. Nous vous confirmerons tout cela après essais.
