Renault semble avoir le vent en poupe ces derniers temps, la marque au losange lançant une voiture après l'autre sur le marché. Après avoir électrifié les Mégane et Scénic, revu les Espace et Clio, ainsi que lancé l'Austral et son coupé Rafale, c'est maintenant au tour du Symbioz.
Mégane devient « Symbioz »
Ce Symbioz devrait commencer à combler le vide laissé par le retrait progressif des actuelles Mégane 5-portes et break. Bien qu'il ait l'apparence d'un crossover moderne, ce Symbioz aura bel et bien un moteur à combustion sous le capot.
Nous n'en savons pas plus sur le design, même si Renault montre des images qui laissent peu de place à l'imagination. Les différences entre l'Austral et ce Symbioz semblent donc minimes, bien qu'elles se situent principalement au niveau de la longueur. Pour remettre le tout en contexte, ce Symbioz mesurera 4,41 mètres de long, ce qui le rend 10 cm plus court que son grand frère.
Hybride
Comme on l’a déjà mentionné, le Renault Symbioz ne sera pas équipé d’une motorisation électrique. Enfin, du moins, pas d’une motorisation entièrement électrique puisque sous son capot se trouve le système E-Tech full hybrid 145. En français : un 4-cylindres essence de 1,6 litres qui fournit 143 ch et 250 Nm de couple grâce à l’assistance d’un moteur électrique. Un ensemble hybride qui devrait assurer une faible consommation et des performances raisonnables.
Renault lèvera le voile sur son futur Symbioz au printemps. Son arrivée portera à six le nombre de SUV dans la gamme de la marque française. Preuve, s’il en fallait encore une, de la popularité du genre.