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Test: Seat Alhambra TDI 115 & 4x4 – Encore plus polyvalent !

Véhicule fétiche des grandes familles, le Seat Alhambra élargit sa gamme en proposant une nouvelle motorisation diesel d’entrée de gamme et une transmission intégrale.

Salué pour ses nombreuses qualités dues, en partie, au fait qu’il soit un clone du Volkswagen Sharan, le Seat Alhambra est désormais livrable animé par une déclinaison inédite du bloc 2.0 TDI, forte de 115 chevaux et 280Nm. Une puissance qui peut paraître relativement faible au regard de l’encombrement et de la masse du monospace espagnol…

Le coude à la portière

Pourtant, le moteur remplit vaillamment sa tâche en toutes circonstances même si les accélérations n’ont rien de froudroyantes, avec 12,6 secondes pour atteindre les 100km/h, et si sur autoroute il vaudra mieux redescendre d’un ou deux rapports avant d’effectuer sereinement un dépassement. Heureusement, la commande de boîte s’avère douce et précise.

La meilleure solution est encore de caler le régulateur de vitesses sur 120km/h et d’anticiper suffisamment tôt les manœuvres de manière à adopter une conduite aussi souple que possible.

Sur route et en ville, le moteur se montre suffisant pour s’insérer sans peine dans les aléas de la circulation, tout en offrant un agrément correct pour peu que l’on n’ait pas peur de jouer du levier de vitesses.

Toutefois, si les 800 euros de supplément demandés pour vous offrir la version 136 chevaux de ce même bloc (31.090 euros contre 30.290 euros) ne sont pas un critère d’exclusion, mieux vaut opter pour ce dernier, offrant un dynamisme supérieur à l’auto sans grever la consommation, figée dans les deux cas à 5,5l/100km.

Hors des sentiers battus

L’Alhambra est également désormais disponible doté d’une transmission intégrale Haldex permettant, lorsque les conditions de roulage le requièrent, d’envoyer tout ou partie de la force motrice sur l’essieu arrière.  Pas de quoi chambouler le comportement de l’auto sur route, mais apporter un sentiment de sécurité supplémentaire en cas de météo capricieuse ou d’adhérence limitée. De quoi permettre aussi de tracter 200 kilos supplémentaires, soit 2.400 kilos désormais.

Si la prise de poids due au système Haldex n’influe pas sur l’agrément du 2.0 TDI de 140 chevaux à l’usage, sa consommation passe toutefois de 5,5 à 6,0l/100km. Mais surtout, il est dommage que Seat ne propose chez nous que cette déclinaison, et pas sa variante de 136 chevaux, moins assassinée par notre fiscalité belge, qui cantonne du coup cette version à un rôle anecdotique.

Uniquement proposé en version haut de gamme Style, l’Alhambra 4x4 est proposé à 35.550 euros, soit un supplément de 2.020 euros par rapport à la traction avant.

Le Sharan aussi…

Si le Seat Alhambra est le premier à disposer du nouveau bloc et de la transmission intégrale, son géniteur chez Volkswagen, le Sharan, les adoptera aussi un peu plus tard dans l’année. Comme pour les autres déclinaisons, ces dernières devraient être plus chères de quelques milliers d’euros que leur pendant ibérique.

Prêt pour la prochaine étape

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