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Kilométrage
69 500 km
Transmission
Boîte manuelle
Année
04/1974
Carburant
Essence
Puissance
235 kW (320 CH)
Vendeur
Professionnel
Données de base
- Carrosserie
- Coupé
- État
- Occasion
- Transmission
- Arrière
- Sièges
- 4
- Portes
- 2
- Version pays
- Suisse
Historique du véhicule
- Kilométrage
- 69 500 km
- Année
- 04/1974
- Dernier contrôle technique
- 12/2024
- Propriétaires préc.
- 2
- Carnet d'entretien
- Oui
Caractéristiques Techniques
- Puissance
- 235 kW (320 CH)
- Transmission
- Boîte manuelle
- Vitesses
- 5
- Cylindres
- 8
Consommation énergétique
- Carburant
- Essence
Equipement
- Confort
- Sellerie cuir
Couleur et Garnissage Intérieur
- Couleur extérieure
- Blanc
- Couleur originale
- Cricket White
- La couleur de l'intérieur
- Noir
- Intérieur
- Cuir
Description
Si James Bond a offert à la DB5 une notoriété considérable, ça n'a pas guère profité à ses ventes, totalisant un peu plus de mille exemplaires.
Son évolution DB6 fait deux fois mieux, mais elle ne dégage pas suffisamment de profit pour permettre à la firme anglaise de lui offrir une descendance entièrement nouvelle. Embêtant car, comme la DB5, elle dérive de la DB4 de 1958. Elle accuse donc le poids des ans quand, en 1965, débutent les études de la future DBS. Alors que fait-on ? On agrandit la plateforme des DB4/5/6, et on en remplace l'essieu arrière rigide par un élément semi-indépendant De Dion, nettement plus moderne. La suspension avant, très satisfaisante, demeure. Pour habiller le tout, William Towns dessine une carrosserie moderne, aux lignes tendues mais arborant une crête partant du bout de l'aile avant pour se poursuivre en ondulant jusqu'à la poupe, un "arc gothique" en hommage à la DB3S de course qui l'avait inauguré. Pour amplifier l'effet nouveauté, Aston choisit la rupture en nommant sa grande GT "DBS" et non "DB7". Côté moteur, si Tadek Marek avait commencé l'étude d'un V8, il est parti en retraite avant de le finaliser. De sorte que, en 1967, la DBS apparaît d'abord avec le 6-cylindres de la DB6. Reconnaissons que concevoir une auto en deux ans, cela approche le tour de force ! Seulement, plus lourde (120 kg) mais pas plus puissante que la DB6 (286 ch tout de même), la DBS se révèle moins performante, ce qui lui vaut un accueil mitigé. De plus, à 114 000 F en 1969, elle coûte plus cher qu'une Ferrari Daytona (101 000 F) plus moderne par ses trains roulants et nantie d'un fabuleux V12... Dur, dur, même si la version sportive Vantage de l'Aston profite de quelque 330 ch, pour le même prix que le modèle standard.
Le V8 n'est finalement proposé sur la DBS qu'à compter de 1970, parallèlement au 6 cylindres. D'une cylindrée de 5.3 L il délivre 320 ch, ce qui est moins qu'attendu car encore très proche de la puissance du 6 cylindres Vantage. Heureusement, l'Aston Martin DBS V8 peut compter sur son couple plus généreux pour séduire une clientèle à la recherche de souplesse de conduite, et sur un équipement luxueux avec la climatisation en série. Le poids s'en ressent et augmente de 200 kg, ce qui impose un changement de roues sur la DBS V8. L'assemblage, toujours à la main, assure la qualité de fabrication exceptionnelle de la marque, tant appréciée de ses clients. Les modèles V8 se distinguent par un logo sur les ailes et par des jantes en alliage léger et non plus les antiques roues à rayons. L'Aston DBS peut aussi compter sur la couverture télévisée de Roger Moore, qui n'est pas encore James Bond mais Lord Brett Sinclair dans la célèbre série "Amicalement vôtre".
En 1972 la V8 est restylée, notamment sa face avant qui renoue avec les phares carénés dans les ailes de part et d'autre de la fameuse calandre Aston. La DBS V8 devient alors Aston Martin V8 puis en 1977, l'Aston Martin V8 Vantage marque une nouvelle étape dans la longue carrière de la DBS dont la base technique ne disparaîtra qu'en 2000 avec la V8 Volante dérivée de la Virage.
L'auto proposée a été livrée neuve par le marchand anglais Hexagon en février 1974 pour un client suisse, la voiture sera immatriculée GE44491. Le premier propriétaire conservera la voiture jusqu'en 2016 ou elle sera vendue au second propriétaire français qui l'importera et l'immatriculera en France.
La voiture affiche aujourd'hui 69 500 km et l'historique d'entretien dont nous disposons confirme que ce kilométrage est d'origine. La voiture n'a jamais été restaurée et est en très très bel état de présentation et de fonctionnement. Une cinquantaine de factures d'entretien figurent au dossier et attestent d'un suivi mécanique régulier.
Reprise et financement possible.
Crédits photos Kevin van Campenhout pour Eleven Cars
Son évolution DB6 fait deux fois mieux, mais elle ne dégage pas suffisamment de profit pour permettre à la firme anglaise de lui offrir une descendance entièrement nouvelle. Embêtant car, comme la DB5, elle dérive de la DB4 de 1958. Elle accuse donc le poids des ans quand, en 1965, débutent les études de la future DBS. Alors que fait-on ? On agrandit la plateforme des DB4/5/6, et on en remplace l'essieu arrière rigide par un élément semi-indépendant De Dion, nettement plus moderne. La suspension avant, très satisfaisante, demeure. Pour habiller le tout, William Towns dessine une carrosserie moderne, aux lignes tendues mais arborant une crête partant du bout de l'aile avant pour se poursuivre en ondulant jusqu'à la poupe, un "arc gothique" en hommage à la DB3S de course qui l'avait inauguré. Pour amplifier l'effet nouveauté, Aston choisit la rupture en nommant sa grande GT "DBS" et non "DB7". Côté moteur, si Tadek Marek avait commencé l'étude d'un V8, il est parti en retraite avant de le finaliser. De sorte que, en 1967, la DBS apparaît d'abord avec le 6-cylindres de la DB6. Reconnaissons que concevoir une auto en deux ans, cela approche le tour de force ! Seulement, plus lourde (120 kg) mais pas plus puissante que la DB6 (286 ch tout de même), la DBS se révèle moins performante, ce qui lui vaut un accueil mitigé. De plus, à 114 000 F en 1969, elle coûte plus cher qu'une Ferrari Daytona (101 000 F) plus moderne par ses trains roulants et nantie d'un fabuleux V12... Dur, dur, même si la version sportive Vantage de l'Aston profite de quelque 330 ch, pour le même prix que le modèle standard.
Le V8 n'est finalement proposé sur la DBS qu'à compter de 1970, parallèlement au 6 cylindres. D'une cylindrée de 5.3 L il délivre 320 ch, ce qui est moins qu'attendu car encore très proche de la puissance du 6 cylindres Vantage. Heureusement, l'Aston Martin DBS V8 peut compter sur son couple plus généreux pour séduire une clientèle à la recherche de souplesse de conduite, et sur un équipement luxueux avec la climatisation en série. Le poids s'en ressent et augmente de 200 kg, ce qui impose un changement de roues sur la DBS V8. L'assemblage, toujours à la main, assure la qualité de fabrication exceptionnelle de la marque, tant appréciée de ses clients. Les modèles V8 se distinguent par un logo sur les ailes et par des jantes en alliage léger et non plus les antiques roues à rayons. L'Aston DBS peut aussi compter sur la couverture télévisée de Roger Moore, qui n'est pas encore James Bond mais Lord Brett Sinclair dans la célèbre série "Amicalement vôtre".
En 1972 la V8 est restylée, notamment sa face avant qui renoue avec les phares carénés dans les ailes de part et d'autre de la fameuse calandre Aston. La DBS V8 devient alors Aston Martin V8 puis en 1977, l'Aston Martin V8 Vantage marque une nouvelle étape dans la longue carrière de la DBS dont la base technique ne disparaîtra qu'en 2000 avec la V8 Volante dérivée de la Virage.
L'auto proposée a été livrée neuve par le marchand anglais Hexagon en février 1974 pour un client suisse, la voiture sera immatriculée GE44491. Le premier propriétaire conservera la voiture jusqu'en 2016 ou elle sera vendue au second propriétaire français qui l'importera et l'immatriculera en France.
La voiture affiche aujourd'hui 69 500 km et l'historique d'entretien dont nous disposons confirme que ce kilométrage est d'origine. La voiture n'a jamais été restaurée et est en très très bel état de présentation et de fonctionnement. Une cinquantaine de factures d'entretien figurent au dossier et attestent d'un suivi mécanique régulier.
Reprise et financement possible.
Crédits photos Kevin van Campenhout pour Eleven Cars
Leasing
detailpage.leasing.title ELEVEN CARS
detailpage.leasing.oneTimeCosts
- detailpage.leasing.configurator.downPayment
- € 0,-
- shared.listItem.leasing.transferCost
- Enthalten
- shared.listItem.leasing.registrationCost
- € 0,-
- detailpage.leasing.total
- € 0,-
detailpage.leasing.generalData
- detailpage.leasing.totalLeaseAmount
- € 6.084,-
- detailpage.leasing.contractType
- Kilometerleasing
- detailpage.leasing.mileage p.a.
- 10.000 km
- detailpage.leasing.leasingFactor
- 1,17
detailpage.leasing.monthlyCosts
- detailpage.leasing.duration
- 36 Monate
- detailpage.leasing.monthlyInstallment
- € 169,-
detailpage.leasing.additionalInformation
- detailpage.leasing.moreKmCosts
- € 0,1300
- detailpage.leasing.reducedKmPayment
- € 0,0600
detailpage.leasing.tip.headline
detailpage.leasing.loanBrokerage Mobilize Financial Services, Geschäftsbereich der RCI Banque S.A. Niederlassung Deutschland
Die Angaben entsprechen zugleich dem 2/3 Beispiel nach § 6a Abs. 3 PAngV.
Vendeur
ProfessionnelELEVEN CARS
listpage.listItem.rating.accessibility
InterlocuteurGonzague Ruchaud
- TVA déductible
- Prix du concessionnaire
- Liste basée sur les informations fournies par le constructeur.
- Prix public final incluant tous les frais et taxes.
- Spécification du constructeur pour les véhicules neufs. L'autonomie électrique des véhicules d'occasion peut varier de manière significative en fonction du kilométrage, du comportement de conduite, de l'âge de la batterie et du mode de chargement.