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Avantages
- Moteur puissant
- Suspension équilibrée
- Comportement sportif
Inconvénients
- Consommation élevée
- Ni voiture de sport, ni GT
- Pas de transmission automatique
Mitsubishi 3000 GT Récapitulatif
Vous trouverez ici un récapitulatif complet concernant la voiture Mitsubishi 3000 GT, y compris des détails sur les principales caractéristiques, la motorisation, les équipements et d’autres informations utiles à propos du modèle de la voiture. Lire la suite
Intéressé par l'Mitsubishi 3000 GT
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Bonnes raisons
Pratiquement tout ce que l'industrie automobile a développé en termes de transmission et de suspension pour donner à une voiture des performances de pointe a été installé sur la 3000 GT : un double turbo, quatre roues directionnelles, un aérodynamisme adaptatif, une suspension à commande électronique...
La 3000 GT n'a jamais eu de boîte automatique, mais pas d'inquiétude : le moteur avait un tel couple sur une si large plage de régime qu'une fois que vous aviez décollé, vous pouviez passer la troisième et ainsi continuer à rouler sur ce rapport de 60 km/h à 200 km/h.
Sur la banquette arrière, il n'y avait pas beaucoup d'espace, mais les enfants n'ont pas eu de problèmes avec cela et le coffre contenait encore beaucoup de bagages, pour une voiture de sport.
La Mitsubishi était rapide comme l’éclair, ou du moins selon les standards des années 90. Un 0 à 100 km/h pouvait être effectué en 5,0 secondes et la vitesse maximale était en théorie de 275 km/h, bien que la voiture soit limitée à 250 km/h.
Données importantes
Moteurs
Le V6 initialement monté par Mitsubishi à l'avant développait 286 ch et un couple stupéfiant de 407 Nm, ce qui était très fort dans les spécifications européennes de l'époque. Il a reçu un intercooler, deux turbos, une injection indirecte multipoint et 24 soupapes. En augmentant la pression du turbo sur le facelift, le V6 est devenu aussi puissant que 320 ch et 427 Nm.
Dimensions
Avec ses quatre roues motrices permanentes et ses quatre roues directrices, la 3000 GT n'était pas la plus légère de ses pairs : elle pesait 1 725 kg. Ses dimensions extérieures restaient cependant dans les limites, avec une longueur de 4,57 mètres, une largeur de 1,84 mètre et une hauteur de 1,25 mètre. Le réservoir contenait 75 litres de carburant et le coffre 210 litres de bagages.
Variantes
En dehors de ses 2 facelifts, la 3000 GT a également connu une version Spyder. Elle était doté d'un toit pliant en métal, mais n'a guère innové en Europe. Quand on parle de la 3000 GT, il faut aussi mentionner la Dodge Stealth. C'était la sœur jumelle technique de la 3000 GT, destiné principalement au marché américain. Mais elle avait moins de gadgets aérodynamiques et recevait également des versions plus modestes du V6. Après tout, ils étaient déjà assis avec la Viper chez Dodge/Chrysler.
Prix
Mitsubishi pouvait en fait demander tout ce qu'elle voulait pour sa 3000 GT, puisque la voiture était destinée aux passionnés. Si l'on tient compte des prix de ses concurrents (japonais), les 70 000 € arrondis n'étaient certainement pas excessifs. Aujourd'hui, il en reste un peu moins de 30 %. Un beau spécimen se vend aujourd'hui aux alentours de 20 000 €. Si vous maîtrisez un peu l'importation depuis les États-Unis, cela peut être encore plus juste.
Design
Extérieur
Mitsubishi est resté modeste avec son dernier modèle de production. Après tout, les prototypes (HSR et HSR II) étaient beaucoup plus exubérants à l'extérieur. Maintenant, avec un peu d'imagination, vous reconnaissez le nez de l'Eclipse et les feux arrière de la Galant. La 3000 GT semble remarquablement large sur la route, avec une carrosserie aux lignes épurées, des jantes de 18 pouces, un splitter avant et un spoiler arrière. La première version avait encore des phares visibles (bien que petits), mais dans la version II, ils pouvaient être repliés vers l'intérieur, ce qui la rendait encore plus élégante. En bref : discret, sans étalage excessif de puissance... Sauf avec le béquet Lancer dans sa dernière variante.
Intérieur
À l'intérieur, vous trouverez du cuir tout autour et un cockpit clairement dessiné autour du conducteur. Qui s'asseyait derrière un volant à quatre branches, regardait 2 grandes horloges rondes avec des informations de base et juste au-dessus de la console centrale, ces jauges se poursuivaient en 3 horloges. Le chauffage et la radio pouvaient être contrôlés juste en dessous. Un large tunnel central séparait la gauche de la droite dans l'habitacle, le levier de vitesse y était très court au milieu. Les sièges étaient bas par rapport au sol, mais ils étaient très bien réglables. Au fond, il y avait de la place pour les enfants, mais plutôt pour les bagages.
Sécurité
Avec son châssis impressionnant, ses freins et son entraînement puissants, la 3000 GT était une voiture dont les limites allaient bien au-delà des vitesses légalement autorisées. Mais quand les choses tournaient mal, il n'y avait que 2 airbags et des ceintures de sécurité pour limiter les dégâts. Ni les autorités américaines ni les autorités européennes n'ont testé la 3000 GT pour sa résistance aux chocs.
Alternatives
Le Japon a fourni les alternatives à la chaîne de montage : Subaru SVX, Honda NSX, Nissan Skyline, 300 ZX, Toyota Supra, Mazda RX-7 ; elle regorgeait de voitures de sport venues de l'Est. Et puis l'Europe avait encore ses Porsche, Ferrari, Aston Martin et Jaguar à vendre, sans parler de la Série M de BMW. Audi a ensuite joué le jeu avec ses modèles Quattro et Mercedes avec la SL. C'était la décennie dorée pour les "têtes d'essence".